Informations pédagogiques
Ce programme comprend plusieurs ateliers : des ateliers d’exercice le matin et des ateliers de réalisation l’après-midi.
Ces ateliers réalisés au sein des Rencontres Internationales de Théâtre en Corse, en pleine nature, permettent d’explorer en immersion les techniques d’un théâtre au grand air, de confronter les œuvres travaillées à une scénographie puissante, le décor naturel des montagnes et des forêts de la vallée du Giussani. Au cours des quatre semaines de la formation, le stage va à la rencontre du public tout au long des phases d’élaboration du travail dans une démarche d’échange et d’éducation populaire (contact avec le territoire, ses habitants, ses coutumes et sa culture).
Objectifs pédagogiques
- Travailler plusieurs auteurs (classiques et contemporains)
- Appréhender différentes techniques de jeu et différents registres et styles théâtraux
- Maîtriser plusieurs techniques de l’art dramatique et examiner leur mise en pratique à des fins d’éducation populaire
- Explorer en immersion les techniques d’un théâtre au grand air, confronter les œuvres travaillées à une scénographie en milieu naturel
- Maîtriser le jeu en extérieur et être capable de jouer dans toutes les conditions
- Construire une progression pédagogique dans le but d’une transmission
- Acquérir les outils de l’encadrement d’un atelier de réalisation théâtrale
- Devenir une personne ressource dans le champ de l’Education Populaire
Méthodologie
La méthode pédagogique qui sous-tend tout le stage est fondée sur l’exigence et la bienveillance et tend à amener les stagiaires comédiens à la simplicité d’interprétation. Ne pas rechercher l’efficacité mais prendre le temps de s’imprégner.
Cette démarche pédagogique s’inscrit dans un contexte de formation unique en son genre : entreprendre un stage de plusieurs semaines pendant les Rencontres Internationales de Théâtre de L’Aria, c’est se former tout en participant à une aventure théâtrale, d’éducation populaire et artistique ouverte à tous, (professionnels du spectacle mais aussi amateurs, enseignants, éducateurs, animateurs, comédiens étrangers). C’est une aventure riche et unique pour les uns et pour les autres car elle place chaque stagiaire au centre d’un projet commun plein d’exigence.
La force de ce stage vient aussi de la multiplicité des intervenants venus d’horizons théâtraux, multiples, exigeants et proposant une diversité de genres et d’esthétique qui se confrontent et se mêlent.
Ce stage propose un cadre exceptionnel pour la pratique du théâtre de plein air, en plein Parc Régional Naturel de Corse, dans une petite vallée de montagne, parmi des châtaigniers centenaires, sur des places de village, dans des jardins, au pied d’un lavoir, devant une église. Ici le théâtre se fabrique en milieu naturel.
Modalités d’évaluation
Tous nos stages donnent lieu à une restitution en public. C’est lors de cette restitution que les acquis seront évalués.
Ressources mises à disposition des stagiaires
Le stage dispose de l’ensemble de l’outil théâtral A Stazzona pour les ateliers d’exercices techniques. Les ateliers de réalisation débouchant sur une finalisation bénéficient d’un apport technique (lumière, son, décors et costumes) conséquent.
Les ateliers de réalisation
« Roméo et Juliette » de William Shakespeare dirigé par Guillaume Séverac-Schmitz
Traducteur et Adaptation : Clément Camar-Mercier. Edition : Esse qué (pas encore disponible on vous envoie le texte)
Je défends un théâtre populaire et exigeant, spectaculaire et intimiste, qui place au centre les actrices et les acteurs. Au plus près des situations originales proposées par Shakespeare, je cherche à jongler avec les émotions les plus radicales pour proposer un spectacle total, dont la recherche esthétique n’est là que pour servir l’histoire qui se raconte. Et quelle histoire ! Roméo et Juliette n’est plus à présenter, et travailler sur cette pièce est une gageure. Car le plus difficile, et ce que je vous propose, c’est de s’en détacher. Se détacher de son image romantique, de ces références esthétiques, littéraires et cinématographiques, pour tenter de se l’approprier, de la faire votre, à l’endroit où nous serons : sous les étoiles, avec seulement vos corps, vos voix, votre sensibilité, vos histoires. Cette apparente pauvreté sera tout ce que nous aurons. Avec un peu de lumière, trois accessoires, de la musique certainement aussi oui…mais ne vous y trompez pas, nous aurons l’essentiel : vous. Toutes et tous qui participerez à cette aventure. Il s’agira de vous plonger corps et âme dans cette histoire, car seul comptera votre engagement, votre solidarité, votre vérité, votre générosité, votre envie de porter et de traverser les évènements, de cette histoire, et de les raconter, ensemble.
Objectifs pédagogiques :
- savoir travailler en groupe
- explorer les liens entre le corps, la voix, la musicalité du texte
- relier la pensée à l’émotion
Méthodes :
En partant d’exercices d’improvisation, développer une méthode collective.
« Un sacre » de Guillaume Poix dirigé par Charlotte de Casanova
Edition Les éditions théâtrales
Entre 2020 et 2021, alors que nos théâtres étaient fermés, la metteuse en scène Lorraine de Sagazan et l’auteur Guillaume Poix ont interviewé environ 300 personnes. Les neuf monologues de « Un sacre » sont issus de ces rencontres. Les personnages, tour à tour, racontent la disparition d’une personne plus ou moins proche. Les questions liées à la mort, son accompagnement, le vide, le deuil, les rites, les croyances sont posées. Et chacun se démène dans sa lutte contre l’oubli. Le verbe théâtral rend sa chair aux disparu.es. Celleux-ci continuent d’exister pour nous, grâce aux mots. Nous travaillerons en chœur dans un espace circulaire. Toutes et tous en permanence sur le plateau. Dans un mouvement perpétuel. Les personnages se mélangeront. Les voies et les voix se multiplieront. Je rêve d’une danse du quotidien. Des corps qui vivent, revivent et survivent, en boucle, sur un rythme commun.
Un sacre est une ode à la vie, à la joie, à l’enthousiasme. Une ode à la nécessité d’être ensemble, de communier, de se retrouver. Une ode au théâtre et sa possibilité de créer de l’éternel…
Objectifs pédagogiques :
“Jamais seul et cependant solitaire comme tout le monde” Michel Piccoli
- C’est l’objectif numéro. Trouver l’équilibre entre la recherche solitaire, et la force de n’être pas seul.e au plateau. Faire chœur et se sentir porté.es par le groupe. Mettre toute l’énergie à créer ce mouvement collectif et perpétuel.
- Mettre les monologues en boucle, en dialogue, en écho.
- S’écouter.
- Chercher des objets, des chansons, des photos qui peuvent appartenir aux disparu.es. Sans faire de mausolée, peut-être créer des espaces.
- Travail sur la musique, le chant et la polyphonie.
Méthodes :
Trouver comment faire chœur.
Dans les corps et dans les mots. Nous chercherons comment l’énergie et la parole circulent. A l’aide de longues improvisations dans l’espace, nous ébaucherons des tentatives. De ces tentatives naîtront un squelette à articuler.
A priori le public sera disposé en cercle autour du plateau, et les acteurices seront toujours présent.es.
Enfin, comme cette parole théâtrale vient de la vraie vie. De là se pose des questions essentielles, moteurs du travail : Comment une personne devient un personnage ? Comment un quotidien devient extraordinaire ? Comment un groupe d’individus devient un chœur théâtral ? Comment une parole échangée devient texte ?
« Les estivants » de Maxime Gorki dirigé par Hugo Roux
Traducteur : Michel Vinaver et André Markowicz / Adaptation : Hugo Roux / Édition : Les Solitaires Intempestifs pour la traduction de Markowicz. Celle de Vinaver n’est, à ma connaissance, pas éditée.
Les Estivants de Gorki sonne le tocsin. Celui de la fin d’un monde.
Si la pièce prend place en Russie, dix ans avant que n’éclate la Révolution de 1917, l’adaptation de Michel Vinaver lui donne une portée atemporelle. A travers elle c’est la bourgeoisie en tant que classe qui est attaquée sans que ne soit pour autant épargnés les progressistes et les classes populaires.
L’écriture de Gorki, à l’instar d’Hamlet avec sa mère, tend un miroir à l’humanité toute entière et lui révèle une noirceur absolue : « Hamlet, n’en dis pas plus ! Tu tournes mon regard vers le fond de mon âme Et j’y vois de si noires taches, dont la teinte Ne disparaîtra plus » Hamlet, Acte III, scène 4 – William Shakespeare
La pièce est composée de nombreux fils et ne prend son sens que dans leur tissage. Entre les personnages se joue, le conflit des générations, les amours impossibles, les bassesses mesquines du quotidien, les naufrages du couple et tant d’autres choses encore. Je souhaite m’emparer de ce texte pour le sortir de l’ornière contextuelle qu’on lui connaît et, en défendant pied à pied chacune des figures qui le composent : lui permettre de frapper encore plus fort.
Objectifs pédagogiques :
Fabriquer un spectacle et se confronter à la création théâtrale dans des conditions professionnelles.
Méthodes :
- Définir les objectifs de chaque stagiaire en fonction de son rôle
- Travailler les scènes en identifiant leurs enjeux dramaturgiques
- Considérer chaque membre de l’atelier comme co-constructeur du spectacle
- Ne jamais perdre de vue la joie et le désir de jouer
« Les amants magnifiques » de Molière dirigé par Sandrine Nicolas
Les amants magnifiques est une comédie-ballet de Molière. Elle fait le procès de l’astrologie au milieu d’une intrigue amoureuse où le mérite l’emporte plutôt que la condition sociale.
Dans un décor naturel nous ferons se côtoyer à travers cette comédie-ballet, le théâtre de tréteaux, de la foire et de convention. Se jouer des formes et des règles, casser le 4ème mur, le remettre en place dans la foulée, jouer à jouer, s’échanger les rôles à vue, s’interpeller, s’exprimer seul ou en chœur comme un seul être. Que ce soit à la fois une fête grandiose où l’on danse et où l’on chante mais aussi où, en toute intimité, dans un petit coin, les sentiments se livrent du bout des lèvres… Se servir de cette forme de « spectacle total » pour, en plein jour ou au crépuscule envahir l’espace, s’amuser et s’émouvoir des situations, de la complexité des sentiments, et du ridicule de certains caractères.
Nous développerons un jeu baroque et jubilatoire, à travers des corps soit virevoltants soit bouleversés, des voix soit chantantes soit palabrantes, un jeu sans compromis ni demi-mesure, un jeu extravagant et joyeux !
Objectifs pédagogiques :
L’intrigue de cette comédie-ballet sera le prétexte à former une troupe (éphémère).
- L’objectif principal étant de trouver le plaisir dans le jeu et de le partager ensemble.
- Nous inventerons un code de jeu où tout se fabrique à vue, basé sur la complicité entre tous.tes les interprètes. Un jeu burlesque et baroque.
- Nous nous engagerons à tisser un imaginaire commun riche de toutes nos singularités.
- Nous formerons cette troupe, prête à envahir l’espace public pour se jouer de la comédie humaine et en faire une fête !
- e, à son tour, apprendra à être moteur du jeu, et ensemble avec l’énergie et la jubilation des pirates, nous créerons sous les yeux des spectateurs décor, scènes, intermèdes… les laissant se demander, une fois la troupe envolée : « Est-ce que cela s’est réellement passé ? ».
Méthodes :
Nous commencerons par des exercices et des jeux théâtraux qui favoriseront la complicité entre les un.es et les autres – faire groupe – L’objectif est de se libérer de toute forme d’appréhension et de cultiver un climat de confiance où chacun se sent libre de proposer, de jouer et d’expérimenter sans crainte. Nous passerons par un travail sur le corps, à la recherche de la singularité, la fantaisie, la poésie de chacun.e pour plonger dans le burlesque. Puis de fil en aiguille, nous aborderons les caractères, les scènes, les tableaux, les intermèdes, afin de construire notre « navire ».
« Le Grall : Une épopée théâtrale déjantée ! » de et dirigé par Serge Nicolaï
inspiré des textes : Merlin de Tankred Dorst (L’Arche), Graal Théâtre de Florence Delay et Jacques Roubaud (Gallimard) et aussi du scénario original Sacré Graal des Monthy Pyton, dirigé par Serge Nicolaï
Quelle épopée ! Quel chaos ! Comment s’y retrouver parmi les milliers de chevaliers, une table (ronde ?), des magicien·nes, des monstres, des démons, des vassaux, des écuyers… et ce fichu Graal, cherché, désiré, perdu, retrouvé ? Tromperies, infidélités, despotisme, guerres, batailles, jalousies… et encore des guerres et des batailles !
Pas de drones, mais un trône, un cœur de lion, des couronnes, un lac, une Dame… Un vrai tourbillon où seule la dérision et la comédie pourront nous servir de boussole.
C’est ce que nous allons tenter : comprendre cette légende en la réinventant. Y parviendrons-nous ? Peut-être. Une seule certitude : nous devrons œuvrer ensemble. Ici, pas d’individualisme. Sans l’autre, nous ne sommes rien. Il faudra partager son savoir-faire, mais aussi son ignorance, sans peur, avec confiance et bienveillance.
Je ne suis ni Merlin ni Morgane… Vous serez tout à la fois : le Graal, les chevaux, les armures, les chevaliers et chevalières, les princesses de toutes sortes. Vous serez les voix, les corps, les sons, la musique, les chants, le fracas et les silences.
Le carton sera notre allié, les casseroles résonneront comme des épées sur des armures… en carton. Nous serons exigeants, rigoureux, tenaces. Nos corps s’inspireront des gestes précis du Kabuki. Nous mettrons en lumière l’artisanat du théâtre, sans tricher, sans cacher.
Le texte sera notre partition, l’humour notre moteur, la vérité notre colonne vertébrale. Ensemble, nous créerons un théâtre où se mêleront comédie, tragédie, poésie et épopée. Et, qui sait, peut-être finirons-nous par comprendre quelque chose à cette légende…
Plongeons ensemble dans le chaos fabuleux de la légende arthurienne ! Le nombre de chevaliers varie selon les auteurs et les textes, de douze jusqu’à mille six cents ! Arrêtons-nous sur quelques figures emblématiques : Perceval, Yvain, Gauvain, Lancelot et Galaad, et une table (ronde ?), des magicien.n.es, des monstres, des trahisons, des batailles, un trône, une Dame du Lac, des Demoiselles (damoiseaux ?) …et bien sûr, le fameux Graal, désiré, perdu, retrouvé…
Bref, un vrai labyrinthe d’aventures où seule la comédie nous aidera à nous y retrouver ! Ici, pas de super-héros en solo : nous serons une troupe, unie par l’humour, la rigueur et la folie créative. Les casseroles deviendront des épées, le carton nos armures, nos corps des œuvres vivantes, inspirées du Kabuki. Nous jouerons avec le texte comme une partition, où se mêleront burlesque, tragédie et poésie. Les femmes jouent des hommes, et les hommes des femmes ou encore les deux. Prêts à forger ensemble cette épopée théâtrale décalée ?
Objectifs pédagogiques :
Donner les meilleurs outils aux stagiaires pour parfaire leur savoir, aider à trouver des clés de l’artisanat du théâtre et de l’interprétation. Savoir écouter son instinct, sa vérité, celle qu’on a trop tendance à enfouir loin en soi, par peur surement. Vaincre ses peurs, prendre confiance en soi en temps qu’artisan du jeu.
Méthodes :
En partant d’exercices de jeu et de corps, développer une boîte à outils de l’acteur
« La mouette » d’Anton Tchekhov dirigé par Agnès Adam
Edition : livre de poche / Traducteur : Antoine Vitez
La Mouette. Œuvre fondatrice du Théâtre d’Art, La Mouette, est une pièce « d’école » aux sources du théâtre psychologique, un cas intéressant sur tous les plans pour le travail de l’acteur, presque un passage obligé tant pour la construction du personnage, la logique de ses sentiments, le travail du monologue que pour l’intérêt de ses scènes collectives et de ses dialogues.
C’est en nous réunissant autour de cette pièce de Tchekhov que nous soulèverons, par la pratique, toutes ces questions qui au fond n’en font qu’une mais sans cesse à renouveler : Qu’est-ce que le vivant sur la scène ? Comment trouver sa liberté propre ? Comment passer du texte écrit au texte scénique ? Comment faire en sorte que le texte scénique devienne le texte de l’acteur-créateur ?
Objectifs pédagogiques :
Je proposerai aux stagiaires d’appréhender les bases de la méthode par l’improvisation structurée autour des 4 actes de la Mouette.
Méthodes :
Le travail de l’étude, de l’esquisse, pour arriver progressivement au texte de l’auteur. Ce travail est un va et vient entre l’analyse et le plateau, une vérification organique des propositions de lecture. Cette improvisation structurée permet à l’acteur d’agir librement dans des contraintes limitées à la structure et la composition ; il peut ainsi exprimer sa nature. Ce qui est recherché est l’action.
Tchekhov un théâtre de situation
- Lecture de la situation pour l’action
- Le choix des circonstances agissantes qui créent l’événement
- Travail à partir des deux événements principaux : originel et principal
- Le personnage et la situation
- Le personnage comme somme des circonstances proposées : travail sur le monologue intérieur
- Les personnages opposés dans leurs circonstances : travail sur le conflit
- La perspective comme moteur de l’action
- La perspective du rôle
- La perspective de l’acteur
Nous aborderons simplement par le jeu et les exercices de training, les notions-clés du travail de l’acteur- la situation, les circonstances proposées, le conflit, le travail sur le monologue, les notions de perspective, pour donner à l’acteur une vision globale du rôle et de l’œuvre. Ceci en nous posant quelques questions simples mais importantes : Que dois-je faire lorsque je découvre un texte dramatique ? Dois-je apprendre le texte ? Que faut-il faire pour que le texte de l’auteur devienne « nôtre », organique, indispensable ? Et qui doit entrer sur le plateau, la personne, le personnage, le comédien ? Et finalement qu’est-ce qu’une situation ?
Adresse
Hébergement et restauration
L’hébergement et la restauration ont lieu dans l’imposant bâtiment Battaglini, qui a été construit en 1902 grâce au don d’un habitant d’Olmi-Cappella ayant fait fortune en Égypte.
L’Établissement Battaglini est un lieu de vie situé au cœur du village. Il comprend des chambrées de 4 à 8 places pour un total de 70 couchages, équipées de douches et WC, une salle d’activité, une salle de restauration.
Transports
Comment venir ?
Les ports et aéroports les plus proches sont :
- Ports de l’Ile-Rousse et de Bastia (depuis Nice, Marseille, Toulon ou l’Italie) ;
- Aéroports de Calvi ou de Bastia.
Venir en voiture
En venant de Calvi : prendre la direction d’Ile Rousse. A la sortie de Lumio prendre à droite direction Belgodère, suivre direction Speloncato, entrée de Speloncato suivre la direction Pioggiola, Olmi Cappella.
En venant d’Ile Rousse : prendre direction Belgodère, puis suivre la direction Olmi Cappella.
En venant de Bastia ou d’Ajaccio : prendre direction Calvi, Ponte-Leccia. Au rond-point de Ponte-Leccia suivre direction Calvi, sur 5,5 km, après le restaurant « chez Dédé » prendre la première à gauche puis à 500m ne pas continuer sur la RT301 mais tourner à gauche sur la D547 continuer sur 5,5 km, prendre à droite en descendant (D547) passer par le « Hameau d’e Piane » sur 9,4 km (15minutes) prendre à gauche la D963 et continuer sur 7,8 km en direction d’Olmi-Cappella.
Bonne route !
Sur place
Services
- La Poste (retrait d’argent possible avec CB moyennant des frais bancaires). Attention, il n’y a aucun distributeur d’argent dans la vallée du Giussani et certains commerces ne prennent pas la CB.
- Une épicerie-tabac (paiement par CB acceptée)
- Un bar, six restaurants dispersés dans la vallée
- Un terrain de sport
Équipements publics
A votre disposition : une médiathèque, un Espace Public Numérique, une salle de vie et de travail, un réfectoire, une régie, une buanderie.
Météo
La vallée du Giussani est en moyenne montagne : nous sommes à 800 mètres d’altitude. Il peut faire très chaud comme froid et la météo est particulièrement changeante. Pensez donc à vous équiper de vêtements chauds et de bonnes chaussures.